Après un dimanche arrosé (très) de rosé du Bourdic justement ,plus un gigot Pascal (pas lui l'autre) et ses flageolets, j'avais pris les devants devant les ennuis énoncés par Marti.. J'ai pu ainsi voir revenir sur moi, mon (cher) peloton mené par ... Jérome.
Jérome amène le groupe comme à son habitude. Bien posé sur sa machine, il enroule un énorme braquet en ignorant les 50 planqués dans sa roue, il mène et c'est tout.
Je me rapelle de sorties où il reste à 300 mètres devant, indifférent aux rafales du mistral sans lacher un pouce de terrain à plus de 45 km/h de moyenne.
Jérome est rarement dans le dernier carré mais il s'en fout. Ce qui compte c'est qu'ils soient derrières, tous derrières et lui devant. C'est sa logique.
C Jerome